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HISTORIQUE DE LA SOCIÉTÉ ELEXO

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La société Elexo a été créée en 1971 par deux ingénieurs de la Sercel, Hervé KREISBERGER et Bernard POISOT

  • Créée en 1956, sous le nom de SMG, comme émanation du département électronique de la Compagnie Générale de Géophysique, la Sercel a pris son nom actuel en 1962. Elle a ensuite déménagé de Paris à Nantes en 1965.
  • Hervé KREISBERGER et Bernard POISOT ont alors décidé de créer leur propre société de distribution de matériel de mesure.
  • La société Elexo est créée en 1971 à Paris avant de s'installer ensuite dans des locaux qu'elle a fait construire à Verrières-le-Buisson dans l'Essonne.
  • Après 34 ans d'activité soutenue, tout en gardant la maitrise de sa croissance pour rester une entreprise à taille humaine, la société est rachetée en 2005 au départ en retraite de ses fondateurs par une holding nommée Crescendo Industrie.
  • Crescendo Industrie rachète aussi les sociétés sœurs I2E et Artware basées à Aix-en-Provence et la société Ipricot basée à Bois-Colombes.
  • I2E étant un intervenant majeur dans la conception et l’intégration des systèmes critiques de haute technologie, Artware une société de conseil en hautes technologies (assistance technique et forfait) et Ipricot un fabricant de modems satellite.
  • Elexo déménage alors à Boulogne-Billancourt et accueille dans ses locaux les agences parisiennes d'I2E et Artware ainsi qu’Ipricot.
  • En 2007 Crescendo Industrie rachète BL Informatique à Montpellier (société de conseil et de services en informatique).
  • Les société I2E, Artware, Ipricot et BL Informatique sont regroupées sous un même nom : Amesys, combinaison de "âme" et "système".
  • Amesys est divisé en plusieurs BU correspondant aux activités des sociétés rachetées :
    • I2E et Ipricot (BU Techno) pour l’intégration des systèmes critiques de haute technologie.
    • Artware et BL Informatique (BU Conseil) pour le conseil en hautes technologies (assistance technique et forfait).
    • Elexo garde son activité de distribution au sein du groupe et son autonomie tout en reportant à la holding.
  • En 2010, Bull rachète Amesys (et Elexo) à Crescendo Industries qui en contrepartie devient actionnaire majoritaire du Groupe.
  • L’actionnariat était précédemment très dispersé, France Telecom détenant 10 % des parts, NEC 3 % et le reste (87 %) étant partagé par une nébuleuse de petits actionnaires.
  • Après le rachat, Crescendo Industries détenait 20 % des parts, France Telecom 8 %, NEC 2 %, le reste de tous les autres actionnaires 70 %.
  • Crescendo Industries place alors 2 de ses représentants au conseil d’administration de Bull.
  • La même année, Crescendo Industries prend le contrôle du Groupe Bull après que le conseil d’administration a désigné Philippe Vannier, précédemment PDG d’Amesys à la place de Didier Lamouche, PDG démissionnaire.
  • En 2011, Amesys et Elexo intègrent la Business Line Security Solutions de Bull.
  • En 2011, Bull rachète la société française TRCOM (Time Reversal Communications), une société installée dans le Val d'Oise et spécialisée dans la sécurisation des communications mobiles et les outils de test des réseaux sans fil.
  • En 2013 Bull rachète la société française FastConnect, spécialiste du cloud computing et du big data.
  • Le 26 mai 2014, Atos et Bull annoncent une offre publique d'achat par Atos sur toutes les actions émises et en circulation composant le capital du Groupe Bull.
  • Le but pour Atos est de créer un groupe de plusieurs dizaines de milliards d'euros, avec une activité de type SSII comportant trois activités :
  • - Payement sécurisé.

    - Cloud computing et big data.

    - Sécurité.

    Bull représentant l'entité Sécurité dirigée par Philippe Vannier.


  • Aout 2014. Succès de l'offre publique d'achat d'Atos sur Bull.
  • Octobre 2014. Annonce d'un projet d'offre publique de retrait suivie d'un retrait obligatoire sur les titres Bull.
  • Novembre 2014. Dépôt du projet de note d'information et suspension de la cotation des actions et obligations sur Euronext Paris.
  • Décembre 2014. Ouverture de l'Offre Publique de Retrait, reprise de cotation, clôture de l'Offre Publique de Retrait, mise en place du Retrait Obligatoire et radiation des titres Bull d'Euronext Paris.
  • La société Bull est complétement intégrée à la structure Atos.
    L'entité créée s'appelle "Big Data & Security" (BDS).
    Elle porte la marque BULL.
  • Composition de BDS :

    - Cloud (effectif total 118 personnes).
    - Infrastructure (effectif total 319 personnes).
    - Integration (effectif total 149 personnes).
    - Security (effectif total 852 personnes).
    - R&D (effectif total 276 personnes).
    - Supply Chain (effectif total 244 personnes).
    - Sales & Management (effectif total 68 personnes).
  • Security (effectif total 948 personnes) :

    - Evidian (102 personnes).
    - Cyber Security (149 personnes).
    - Systèmes Critique/Electronic Warfare (227 personnes).
    - Elexo + TR Com (54 personnes).
    - Conseil (416 personnes).
  • La marque Bull est l'opérateur de confiance de la donnée en entreprise d'Atos. Positionnée sur le Cloud et le Big Data, elle assure l'intégration et la gestion de systèmes hautes performances et de solutions de sécurité de bout en bout. Bull propose des offres permettant à ses clients de traiter toute l'information à leur disposition pour créer de nouveaux usages. En toute sécurité, Bull transforme la data en valeur pour les organisations.

    Aujourd'hui, l'entité BDS portant la marque Bull compte 9200 collaborateurs répartis dans plus de 50 pays dont 700 personnes entièrement dédiées à la R&D. En 2013, Bull, qui était encore une société indépendante a réalisé un chiffre d'affaires de 1,3 milliards d'euros.
  • 14 juin 2017 Amesys (Siège social : 655 avenue Galilée, 13794 Aix en Provence) est renommée « Avantix ».
  • 20 mars 2017, Atos fait son entrée au CAC 40, confirmant le statut d'acteur mondial du groupe.
  • Juillet 2018, Atos annonce l'acquisition de Syntel, une entreprise américaine possédant de nombreux centres offshore en Inde.
  • 2019, Atos conclut un partenariat avec Google Cloud portant sur la mise en place de services communs dans les domaines du cloud hybride, de l’analyse de données, de l’apprentissage automatique et de l’environnement de travail connecté. Les deux entreprises annoncent l'ouverture de trois centres de recherche communs consacrés à l'intelligence artificielle. À la suite de ce partenariat, Atos rachète l'entreprise américaine Maven Wave, l'un des principaux partenaires de Google Cloud.
  • 30 janvier 2019, Atos annonce céder 23,4 % de sa filiale de paiement électronique Worldline tout en conservant 27,4 % du capital de l'entreprise.
  • Octobre 2019, le groupe annonce la vente d'une participation de 12 % dans Worldline, ne conservant qu'une participation de 13 %.
  • Février 2020, l'entreprise annonce qu'elle ne possède plus que 3,8 % de participation de Worldline.
  • Septembre 2020, débuté en 2011, le partenariat stratégique conclu avec la multinationale allemande Siemens est renouvelé pour cinq ans.
    Le groupe allemand, actionnaire d'Atos à hauteur de 10 % est aussi son premier client puisqu'il représente 5 % du chiffre d'affaires de l'entreprise française.
  • Octobre 2020, Atos annonce la finalisation du rachat du cabinet de conseil EcoAct et de ses 160 experts climatiques, spécialisé dans les stratégies de décarbonation. Le but de ce rapprochement est de créer un centre d'excellence mondial pour la décarbonation, dont le rôle consiste à accompagner tous types d'organisations dans leurs politiques de réduction de leur empreinte carbone.
    EcoAct produit notamment chaque année un rapport sur l'avancée de la transition climatique des grandes entreprises du CAC 40 (France), du Dow Jones (États-Unis), du FTSE 100 (Royaume-Uni) et de l'Ibex 35 (Espagne).
  • 27 octobre 2020, l'ancien Premier ministre français Édouard Philippe est élu, avec 99,88 % de voix en sa faveur, membre du conseil d'administration d'Atos.
  • 17 septembre 2021, Atos quitte le CAC 40.
  • 20 octobre 2021, Pierre Barnabé et le Britannique Adrian Gregory, co-directeurs généraux, remplacent Elie Girard, directeur général et administrateur de l'entreprise.
  • Décembre 2021, Atos rachète Cloudreach, société spécialisée dans les services en migration, développement d'applications cloud et services multicloud.
  • Octobre 2022, Atos annonce qu’elle va opérer sa scission interne à l’été 2023, celle-ci consiste à diviser les activités historiques du groupe, au nombre de trois, en entités séparées :

    • Les infrastructures informatiques et infogérance

    • Le cloud et développement d'applications

    • Les supercalculateurs et la cybersécurité (nommée "Big Data & Security" sous la marque Evidian)

  • Avril 2023, Atos annonce officiellement sa scission en deux entités dont une, sous le nom d'Eviden, regroupe les activités cybersécurité, big data et cloud d'Atos ainsi que l'activité de conseil (anciennement connue sous le nom d'Atos Consulting).

    • Eviden devient alors une marque à part entière proposant des solutions complètes répondant aux besoins changeants de sa clientèle variée.

    • Eviden est une marque déposée.
      Son activité est exploitée à travers les marques suivantes : Alia Consulting, AppCentrica, ATHEA, Atos Syntel, Bull, Cloudamize, Cloudreach, Cryptovision, DataSentics,digital.security, Eagle Creek, EcoAct, Edifixio, Energy4U, Engage ESM, Forensik, IDEAL GRP, IDnomic, In Fidem, Ipsotek, Maven Wave, Miner & Kasch, Motiv, Nimbix, Processia, Profit4SF, science+computing, SEC Consult, Visual BI, Worldgrid, X-Perion, zData.


  • 31 octobre 2023, la société Archos annonce que sa filiale Logic Instrument (concurent historique d'Elexo) a finalisé ce jour l'acquisition de 100 % des parts d'Elexo, filiale du groupe Atos, afin de créer l'intégrateur national de solutions mobiles durcies en milieu critique et environnement hostile

  • Décembre 2023, Archos et ses filiales Logic Instrument, Medical Devices Venture et Elexo déménagent dans un bâtiment indépendant de 1000 M2 au 3 rue Ampère à Igny, au sein du plateau de Saclay.

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